Les chroniques de MarcSupilami
Résumé :
La fraîcheur de sa colère, son amour des femmes, ses instincts de bon père juif, son usage immodéré de l'humour comme ultime politesse, David n'a rien perdu. Pourtant Leïla, l'Arabo-Andalouse de sa vie, l'a abandonné. Les Fellini, les Mastroianni, les Serrault et autres frères élus ont disparu sans crier gare. Alors il écrit. Des notes éparses, qu'il laisse traîner un peu trop négligemment, et qui déclenchent une correspondance inattendue avec ses trois enfants...
« Ça va ? –
Non, ça va pas. Et ne me pose pas la question, Ducon, puisque au fond tu t’en fous.»
« Alors, en forme ?
– Non, j’ai le sida. Et je t’encule. Bonne année ! »
L'avis de MarcSupilami :
Et voilà, le ton est donné
Pour moi qui pensais me poiler
Je me suis encore fourvoyé
Le nom de l'auteur m'a berné
Merci sacré Guy Bedos
Avec ta correspondance
Tu m'as roulé jusqu'à l'os
Tu es plus malin qu'on pense
Ta pauvre maman mourante
Ne te laisse pas de répit
Et pour remonter la pente
Tu nous fais part de ton dépit
Histoire triste il est vrai
Tu t'en tires vraiment bien
Avec ton texte bien fait
Je t'applaudis des deux mains
Et pour finir en beauté
Quoi rajouter dans ma chronique
Sans finir par tout péter
Pour une fois que c'est romantique
C'est avec grand plaisir
Vous mes amis Fabebookiens
Que je viens vous servir
Parce que vous le valez bien
Veni, Vidi, Vici
Dit MarcSupilami
Et maintenant c'est fini
Je dois aller faire pipi
MarcSupilami
Mince, de la poésie ! Et en plus de la poésie qui fait rire, alors ça c'est plutôt unique. Joli texte Supi !
RépondreSupprimerJe t'applaudis des deux mains également !
Bravo Supi ..tu fais mieux que Bedos ! :)
RépondreSupprimerMerci les amis.
RépondreSupprimerIl fallait bien que je remonte la pente après "Femmes secrètes" :)
A part ça, j'ai bien aimé ce livre qui tient évidemment plus de la biographie que du roman !
très belle poésie, je n'aime pas trop Guy Bedos, mais là serait bien tentée d'aller voir ce qui mérite un si beau poème.
RépondreSupprimer« Sans le rêve, il n'y a pas de poésie possible.
SupprimerEt sans la poésie, il n'y a pas de vie supportable. »
Pasteur Valléry-Radot