'> Fabebook: 04/21/13

dimanche 21 avril 2013

22/11/63 - Stephen King

Mon avis :
Du grand King !
J'ai lu beaucoup de Stephen King étant plus jeune et moins jeune, je ne les ai pas tous lus mais c'est pas loin.
Depuis quelques années je me disais que ce n'était plus trop ma tasse de thé.
Grosse erreur : suite aux nombreuses critiques et avis de personnes dans mon cas et l'ayant lu, je m'y suis mise.
Comme je le disais en titre, c'est du grand King !
Une bonne brique de + de 800 pages qui ne m'a pas semblé longue mais qui, au contraire, m'a tenu en haleine du début à la fin.
Peut-on changer le cours de l'histoire, en l’occurrence, l'assassinat de J.F.K ?
Jake va s'y employer en retournant en 1958, année de ma naissance (chut ! ne le dites à personne).
Une histoire prenante, super bien documentée, une histoire d'amour et d'amitié, une histoire fantastique dans tous les sens du terme.
Du fantastique comme seul Stephen King peut nous en conter.
Je vous le recommande chaudement, il n'y aura pas de déçu.

Fabe
                                             ___________________________

22 novembre 1963 : 3 coups de feu à Dallas.
Le président Kennedy s'écroule et le monde bascule.
Et vous, que feriez-vous
si vous pouviez changer le cours de l'Histoire ?

2011. Jake Epping, jeune professeur au lycée de Lisbon Falls dans le Maine, se voit investi d'une étrange mission par son ami Al, patron du diner local, atteint d'un cancer. Une « fissure dans le temps » au fond de son restaurant permet de se transporter en 1958 et Al cherche depuis à trouver un moyen d'empêcher l'assassinat de Kennedy. Sur le point de mourir, il demande à Jake de reprendre le flambeau. Et Jake va se trouver plongé dans les années 60, celles d Elvis, de JFK, des grosses cylindrées, d'un solitaire un peu dérangé nommé Lee Harvey Oswald, et d'une jolie bibliothécaire qui va devenir l'amour de sa vie. Il va aussi découvrir qu'altérer l'Histoire peut avoir de lourdes conséquences...
Une formidable reconstitution des années 60, qui s'appuie sur un travail de documentation phénoménal. Comme toujours, mais sans doute ici plus que jamais, King embrasse la totalité de la culture populaire américaine.