'> Fabebook: 04/27/13

samedi 27 avril 2013

Le secret de Dieu - David Emton

Mon Avis :
Un thriller initiatique époustouflant. 
J'ai lu ce livre avec avidité tellement j'ai été subjuguée par toute l'histoire.
Je me suis sentie transportée à Jérusalem et j'ai voyagé au travers des siècles au fil de l'histoire. Jamais je n'ai été gênée par les changements d'époques ou de lieu grâce à l'écriture hors du commun de David Emton.   J'espère encore lire cet auteur que je trouve excellent.
Julie Normandy cherche son père dont on ne connait pas le destin, fatal ou pas !
Certes Julie est le personnage central de l'histoire, celle par qui tout commence, mais la véritable histoire est celle de Jérusalem, celle du bien et du mal qui s'affrontent depuis la nuit des temps.  Nulle autre ville, nul autre pays ne pourrait tenir caché le secret de Dieu.
Un livre que je conseille vivement à tous les amateurs de thriller ésotérique.

Fabe

D'après les dernières nouvelles ...très bientôt nous aurons le plaisir de lire le deuxième livre de David Emton.!
Je vous en parle dès que j'ai des infos.!   

" Jérusalem : ville sainte, ville maudite. Depuis plus de mille ans, trois religions s’y entre-déchirent. Les guerres s’y succèdent. Les attentats s’y multiplient. Un homme, archéologue et franc-maçon, a découvert les racines du mal. Mais on ne croise pas impunément le chemin des Fils des Ténèbres…  Dans ce grand thriller initiatique, David Emton, brassant personnages, époques et lieux, éclaire d’un jour nouveau l’histoire des religions et des hommes."

Allez voir ici...  pour plus d'information.


"Des bas-fonds de Cuba au sanctuaire mafieux de Corléone, d’Israël aux déserts du Turkménistan, Emton a enquêté comme Grand Reporter pour plusieurs magazines. Il se consacre désormais à l’écriture de romans.
Le Secret de Dieu (Albin Michel, 2 février 2012) est son premier thriller, où course-poursuites, flash-back historiques, dialogues ciselés, énigmes et rebondissements alternent dans un récit mené à tombeau ouvert. « Une fusion entre Indiana Jones et L’Exorciste », selon Gérard de Cortanze (Prix Renaudot 2002)."